Nos formations et groupes de travail

En Master 2, la mention Études européennes et internationales (EEI) propose quatre parcours types et de nombreux groupes de travail.

Les parcours :

 
 

 

 

Sécurité de l’Europe, Stabilisation et Intervention Internationale/Security of Europe, Stabilisation and International Intervention (SESII)

Le SESII forme analystes et praticiens des questions de sécurité et de politique internationale. Structuré par les axes prioritaires de l’UE (résilience, gestion de crise, coopération, développement capacitaire), il répond au besoin de spécialistes créé par l’action croissante de l’Union dans les opérations militaires ou civiles, la coopération économique, humanitaire ou de développement, les partenariats inter-organisations et les mécanismes de solidarité et de protection des citoyens européens.

Politique européenne et Gouvernances (GOV)

Ce parcours forme aux métiers de la gouvernance et de la coopération au sein ou auprès des institutions européennes, des collectivités territoriales, des cabinets de conseil, des ONG et des entreprises. Centré sur les savoirs de gouvernement et sur les expertises juridique et politique, il répond aux besoins des institutions européennes et nationales en expertise spécialisée dans les domaines de la conditionnalité et de l’État de droit, désormais stratégiques dans l’espace politique européen.

Politique européenne et Politiques sociales et environnementales (PEPSE)

Ce parcours ouvre aux étudiants divers espaces professionnels dédiés à des politiques européennes en restructuration et en forte expansion dans les secteurs sociaux et environnementaux pour lesquels des compétences spécialisées sont requises (métiers politiques, administratifs, en cabinet d’affaires publiques, en entreprise ou en ONG). Ces deux secteurs s’articulent dans la question de la transition environnementale consubstantielle des enjeux de justice sociale. 

Affaires européennes/Europa-Studien (A2ES)

Ce parcours rénové combine une formation généraliste aux métiers de l’Europe (par mutualisation partielle avec les 3 autres parcours) et une spécialisation solide sur l’Allemagne et le franco-allemand. Il constitue la seconde année du Master en double diplôme (DD) avec l’Université Viadrina et est ouvert aux étudiant.es de la 4 A EE et du DD Jagellonne. Ce parcours forme des cadres économiques, politiques et administratifs associant l’expertise du franco-allemand et la spécialisation européenne.

Pour en savoir plus sur le contenu des formations, le site de Sciences Po Strasbourg met à disposition davantage de détails (disponibles ici). 

 
 

 

 

Les groupes de travail :

Groupe 1 FRED.info : Comment faire gagner de la visibilité au nouveau portail citoyen franco allemand ? 

Encadré par l’Institut Franco-Allemand situé à Ludwigsburg, ce groupe de travail a pour objectif de  créer du contenu et diriger du trafic régulier sur FRED.info, portail citoyen franco-allemand. Ce travail  pratique doit déboucher sur la rédaction d’un rapport de 20-25 pages. Il cherche à analyser les  conséquences des projets franco-allemands sur le quotidien des citoyens, mais étudie également  l’inclinaison de ces derniers à « s’emparer » des enjeux du franco-allemand. Il s’agit aussi de  s’interroger plus largement sur l’existence ou non d’une « élite » franco-allemande, qui serait à la fois  seule initiatrice et bénéficiaire des projets transfrontaliers. Notre travail s’appuie entre autres sur des  entretiens, des statistiques, une intervention dans une classe ABIBAC et mobilise une littérature  scientifique. 

Membres du groupe : Augustin Bressot, Juliette Gesler, Ludovic Tölg-Boulin, Daniel Ullrich Encadrants : Stefan Seidendorf Et Maxime Legrand 

Groupe 2 : Le discours comme un dialogue : écouter et répondre aux 18-25 ans dans la campagne  institutionnelle des élections européennes de 2024  

Le groupe de travail Parlement européen a pour objectif la rédaction et la prononciation d’un discours  d’une demi-heure devant un panel de fonctionnaires du Parlement européen. Ce dernier sera composé de  spécialistes des études statistiques européennes et du vote des jeunes. Il s’agit d’effectuer des recherches  afin de collecter les données existantes en matière de vote des jeunes aux élections européennes, mais  également de mener nos propres études empiriques, qualitatives et quantitatives. L’objectif final est  double. D’une part, apporter des éléments de langage inédits et des propositions concrètes pour aider le  Parlement européen à convaincre les jeunes de 18 à 25 ans de voter aux élections européennes de 2024.  Cela implique de comprendre les jeunesses européennes mais également les membres du panel à qui  nous nous adressons. D’autre part, cela exige des membres du groupe d’apprendre des techniques  rédactionnelles et oratoires pour convaincre. Le discours se tiendra le mardi 9 janvier 2024 dans les  locaux de l’institution à Bruxelles, comme proposé par les étudiants du groupe.  

Membres du groupe : Léa Apelroit, Max Chabert, Quentin Choulet, Esteban Gas, Thomas Heap, Sergi  Pérez Lopez, Mathilde Rose, Cameron Touati  

Encadrante : Isabelle Gaudeul-Ehrhart 

 
 

 

 

Groupe 3 : L’européanisation des politiques publiques locales. La réponse aux appels à  propositions de financement de l’Union européenne 

La Ville et l’Eurométropole de Strasbourg placent l’européanisation de leurs politiques publiques parmi  les priorités de leur stratégie européenne, internationale et transfrontalière. Afin de mettre en œuvre le  projet d’européanisation de la ville et l’Eurométropole de Strasbourg, notre groupe de travail a pour  objectif d’étudier la manière dont un certain nombre de villes et de métropoles françaises et européennes  comparables s’organisent afin d’assurer une veille sur les programmes et financements UE. L’approche  de recherche combine une étude théorique des sciences politiques sur l’européanisation des politiques  publiques locales avec des entretiens pratiques auprès de professionnels des collectivités territoriales. Le  résultat de notre recherche vise à dresser, à travers les résultats de notre benchmarking, des  préconisations à l’Eurométropole de Strasbourg sur le sujet.  

Membres du groupe : Fleur Amigon, Anna Benavent Ros, Maelic Locatelli, Timothé Letty Encadrant : Guillaume Delmotte 

 

 
 

 

 

Groupe 4 : L’influence de compétiteurs en Eurasie  

Encadrés  par  le  Centre  du  Renseignement  Terre  (CRT),  les  étudiants  avaient  pour  objectif  de  rédiger  un  rapport  d’une  vingtaine  de  pages  par  sous-groupe  de  trois.  Trois  sujets  différents  étaient proposés.  Ils avaient pour point commun d’avoir pour objet deux puissances régionales :  l’Iran et la Turquie. Le premier rapport visait à établir l’apport de ces deux États dans un confit de  haute-intensité :  la  guerre  en  Ukraine.  Le  deuxième  portait  sur  l’influence  exercée  par  ces  puissances  régionales  dans  les  Balkans.  Et  le  dernier  se  concentrait  davantage  sur  l’Iran  et  sa  capacité  à  convertir  sa  BITD  en  économie  de  guerre.  Afin  de  réaliser  ces  travaux,  une  phase  de  d’apprentissage a été nécessaire. Les étudiants ont pu suivre des formations sur les méthodes de   recherche en sources ouvertes (OSINT),  les outils de la cartographie et la terminologie militaire.  

Membres du groupe : Léo Casali, Estelle Coupin, Clara Fleury, Audrey Haranger, Florian Laur, Jean Baptiste Laurent, Manelle Lepoix, Léon Maulin, Sophia Mouhssine 

Encadrante : Lieutenant Claire Pinier 

Groupe 5 : Les relations bilatérales de défense en Europe : enjeux, portée et limites. L’exemple  des partenariats Londres-Varsovie et Paris-Berlin

Le groupe de travail est chargé de mener un projet de recherche sur les enjeux de deux partenariats  bilatéraux de défense en Europe : Paris-Berlin et Londres-Varsovie. L’avènement de la guerre en  Ukraine et les réactions européennes en découlant ont pu renforcer l’idée d’un basculement du centre de  gravité géopolitique de l’Europe vers l’Europe centrale et orientale, dont le binôme Pologne-Grande  Bretagne serait devenu le porte-parole. Un constat renforcé par les difficultés franco-allemandes à  coopérer en matière de défense. Au cours de cette étude, nous souhaitons interroger la pertinence d’une  telle dichotomie, en abordant les éléments – objectifs et subjectifs ayant amené le débat public à  objectiver l’existence de tels partenariats. De plus, nous questionnons la portée et la centralité des  partenariats bilatéraux au sein de l’architecture européenne de sécurité et de défense. Cette étude est le  fruit d’un mandat confié par EuroDéfense-France, une association regroupant hauts fonctionnaires civils  et militaires, chercheurs et industriels, porté par un intérêt commun pour les enjeux de défense  européenne.  

Membres du groupe : Basile Garré, Lou Lingelser, Antoine Malard, Ewa Mrowiec, Etienne Rolling,  Gabriel Sommer, Louis Vitrand 

Encadrant : Général de corps d’armée Jean-Paul Thonier

Groupe 6 : La méthode de planification et de décision utilisée à l’Eurocorps peut-elle servir  de modèle dans  la résolution et  la prise de décision concernant des problèmes complexes  du monde civil ?

Le groupe de travail a été chargé par l’Eurocorps de s’interroger sur l’application de la méthode de  planification  militaire  à  la  gestion  de  crise  en  milieu  civil.  Les  étudiants  ont  été  amenés  à  se  rendre, à raison de deux fois par mois, au sein de l’Eurocorps afin d’échanger avec les encadrants  sur la  planification militaire mais également  sur le  thème  de la  défense européenne  de manière  générale. Le travail  s’est  basé en  premier lieu  sur le manuel  de  planification « NATO Standard »  utilisé  par  l’Eurocorps  dans  ses  opérations  mais  également  sur  un  ensemble  de  ressources  académiques et militaires traitant du domaine de la planification de gestion de crise. Le groupe a  également été amené à mener des entretiens avec des représentants du milieu civil afin d’étayer  notre  connaissance  du  milieu  et  notamment  avec  deux  intervenants  du  master  SESI,  le  Général  Emanuel de Romémont ainsi que Madame Anaëlle Gabrieli.  

Membres du groupe : Chloé Amy, Pierre Chaligné, Paul Ennuyer, Masaru Hiroe, Thomas Kedras Encadrants :  Lieutenant-Colonel  Amaury  Damase,  Commandant  Carole  Schmitt,  Major  Jean-Louis  Chotard

Groupe 7 Gendarmerie : Recommandations pour la révision du Traité de Mondorf-les-Bains sur la  coopération policière entre la France et l’Allemagne

Le traité de Mondorf-les-Bains (1997) pose les bases de la coopération policière entre la France et  l’Allemagne.  Cependant,  des  distorsions  existent  entre  ce  texte  juridique  et  la  coopération  au  niveau  local :  le  traité  devrait  donc  être  révisé  dans  les  prochaines  années.  L’objectif  de  notre  groupe  de  travail  est  de  fournir  des  recommandations  sur  lesquelles  la  partie  française  pourra  s’appuyer. Il  s’agit  d’identifier  les  bonnes  et  les  mauvaises  pratiques  afin  de  proposer  des  recommandations. Nos principales recommandations se concentrent sur la  formation : renforcer  la formation linguistique en français et en allemand, faciliter le recrutement de personnels attirés  par la coopération au niveau des ressources humaines (RH), mais également créer des formations  juridiques pour mieux connaître les systèmes policiers des deux pays.  Sur le volet opérationnel,  nous  recommandons  notamment  la  réciprocité  du  droit  de  poursuite  (uniquement  appliqué  en  Allemagne pour l’instant), le droit d’interpellation transfrontalier, la mise en place d’une base de  données commune ainsi qu’un renforcement des patrouilles mixtes. L’objectif est ainsi d’étendre  la coopération, qui est aujourd’hui encore très dépendante des relations interpersonnelles.  

Membres  du  groupe  :  Cécile  Aurand,  Logan  Gum, Nolwenn  Hoüitte  De  La  Chesnais,  Félix  Trojan,  Charlie Vairetty, Matteo Vicente. 

Encadrants : Lieutenant-Colonel Christophe Richard et Dr Pierre Berthelet  

Groupe 8 : Guide des Métiers de l’Europe #2

Ce groupe  de  travail a  pour  objectif  de  créer  un Guide  des métiers  de l’Europe à  destination  de  tous les étudiants, du Master Europe de Sciences Po Strasbourg et au-delà. Ce  travail donne des  informations  sur  les  métiers  européens  qui  sont  accessibles  après  le  Master  et  vise  à  aider  les  futurs  diplômés  à  s’orienter  dans  le  monde  professionnel,  que  ce  soit  à  Bruxelles,  au  niveau  national ou local. Ainsi, chaque fiche du guide présente un métier de façon exhaustive, détaillant la  pluralité des missions exécutées à long et court terme, les avantages et inconvénients ainsi que les  conseils donnés aux étudiants par de jeunes professionnels actuellement en exercice. En parallèle  du guide, le groupe a produit une étude contextuelle. Celle-ci permet de mettre en perspective les  différentes  fiches métiers et  de  dégager  une ligne  réflexive  sur les  dynamiques  professionnelles  induites par l’Union européenne. Cet approfondissement donne des clés d’analyse sur le  rôle de  ces métiers dans la fabrique de la régulation européenne et sa mise en œuvre.  

Membres du groupe : Pauline Cathonnet, Matthieu Gasp, Zahra Kalaf, Lena Lopez, Thomas Pelletier,  Hugo Schons 

Encadrants : Florine Roos et Séverin Schnepp

Groupe 9 : Les priorités de la prochaine Commission européenne en matière de politiques  climatiques

En lien avec le think tank Confrontations Europe, ce groupe a été chargé de la préparation d’une  série  de  propositions  à  destination  de  la  prochaine  Commission  européenne  en  matière  de  politiques  climatiques.  Si la  Commission  actuelle  a  été  proactive  à  cet  égard  – en  témoignent la  mise en œuvre du Pacte Vert pour l’Europe et l’adoption des propositions législatives du paquet  Fit for 55 – l’accélération du dérèglement climatique et les bouleversements géopolitiques induits  par  le  conflit  ukrainien  supposent  une  action  d’autant  plus  résolue  durant  le  prochain  mandat.  Organisés  en  quatre  sous-groupes  thématiques  (Énergie  &  Industrie,  Transports,  Agriculture  &  Alimentation, Biodiversité), les  sept membres  du groupe  ont pu échanger avec  une  trentaine  de  professionnels  des  secteurs  susmentionnés,  permettant  de  dégager  une  vision  d’ensemble  des  prochaines  étapes  de  la  transition  écologique  européenne.  Ce  travail  d’enquête,  complété  par  l’étude de littérature scientifique (rapports, notes de  think-tanks, ouvrages divers, etc.), a abouti  sous  la  forme  d’un  rapport  comprenant  plusieurs  articles  « thématiques »  (rédigés  en  sous groupes) et « transversaux » (rédigés par l’ensemble des membres).  

Membres  du  groupe :  Chiara  Bonche,  Sophia  Geys,  Clara  Marteau,  Mathieu  Ostermann,  Adrien  Robert, Léa Roethinger, Térence Schmitt 

Encadrants : Pierre Fouquet, Thomas Dorget 

Groupe 10 : Les annonces de politique monétaire de la BCE et leur retraduction dans les débats  publics français, allemand et italien (Projet inter-master – PIM)

S’inscrivant dans le projet ITI MAKErS, ce groupe de travail intermaster vise à étudier la manière  dont  les  annonces  de  la  banque  centrale  européenne  sont  retraduites  et  interprétées  dans  les  différents États de la zone euro. L’hypothèse de départ est qu’une même intervention de la BCE  suscite des réactions différentes en  fonction de l’espace national. Le groupe s’est concentré plus  particulièrement sur trois pays (France, Allemagne, Italie), et sur deux périodes significatives pour  la BCE : la mise en  place  du Quantitative easing  sous Mario Draghi  (janvier  2015), et la  récente  hausse  des  taux  d’intérêt  (2022)  par  Christine  Lagarde. D’un  point  de  vue  méthodologique,  le  travail consiste à encoder dans une base de données les prises de position journalistiques issues  de trois titres économiques (Les Echos en France, Handelsblatt en Allemagne et Il sole 24 ore en  Italie), ainsi que du Financial Times (journal-témoin). Tous les articles parus durant les périodes  étudiées  sont  décortiqués  via  une  série  de  critères  (perception  de  l’inflation,  des  politiques  monétaires  non  conventionnelles,  etc.)  afin  de  faire  ressortir  les  grandes  tendances  propres  à  chaque espace national.  

Membres du groupe : Antoine Chapuis, Susie Hacquin, Max Krauter, Tom Logel Encadrants : Amélie Barbier-Gauchard, Philippe Juhem, Moïse Siridopoulos 

Groupe 11 : Living wage(s)

Ce groupe de travail est un projet inter-masters (PIM), proposé dans le cadre de l’Interdisciplinary  Thematic Institute (ITI) MAKErS. Ce projet regroupe des étudiants en études de macroéconomie,  de  droit  social  et  de  sciences  politiques.  Il  s’inscrit  dans  le  cadre  de  l’adoption  en  2022  de  la  directive  relative  aux  salaires  minimaux  adéquats  au  sein  de  l’Union  européenne.  L’objectif  est  d’analyser  les  négociations  collectives,  du  point  de  vue  de  ces  trois  domaines,  dans  trois  pays  européens aux modèles de négociations opposés: la Pologne, la Belgique et l’Espagne. L’objectif est  ainsi de comprendre si un modèle de négociations collectives serait plus efficace pour parvenir à  l’établissement de « living wages ».  

Membres  du  groupe  :  Solenn  Nedelec,  Simon  Debat,  Thaïs  Montalvao,  Nikolas  Keckhut,  Constance  Maly  

Encadrants : Marie-Christine Aquatias, Mélanie Schmitt, Francesco de Palma 

Groupe 12 : Quelle politique de réduction des pesticides pour l’Union européenne ? (Projet inter master – PIM)

Ce  groupe  de  travail  était  chargé  d’étudier  les  différentes  problématiques  afférentes  à  la   construction  de  la  proposition  de  règlement  sur  l’utilisation  durable  des  produits  phytopharmaceutiques,  dit  règlement  “SUR”.  Les  étudiants  se  sont  focalisés  sur  l’influence  des  divers acteurs sur le texte tout au long de sa rédaction ainsi que de ses différents passages auprès  des institutions et instances  de  consultation européennes. Un accent a également été mis  sur la  relation  entre  ce  texte  et  d’autres  afin  de  voir comment  ils  conditionnaient  le  vote  de  certains  groupes politiques. À travers notre travail, nous souhaitons faire comprendre au lecteur les enjeux  clés  que  comportent  ce  texte  pour  la  définition  d’une  politique  européenne  de  réduction  des  pesticides ainsi les dynamiques plus larges autour de l’environnement et l’agriculture au sein de  l’Union Européenne.  

Membres du groupe : Oriane Petit, Clémentine Castagné, Télio Gaborit, Léna Maillet, Sagita  Kaveendran 

Encadrants : Hélène Michel, Annie Martin